Santé visuelle

Graville Optique au Havre vous parle de santé visuelle

Vos opticiens de proximité consacrent beaucoup de temps à votre bien-être visuel. C’est pourquoi ils ont choisi de se spécialiser en santé visuelle et en basse vision au Havre. Écoute, conseils, solutions et suivi sont leurs maîtres-mots.

En tant que gérant de Graville Optique, Alexandre DELAMARE prend le temps de vous expliquer ses choix dans l’interview ci-dessous.

Retrouvez l'interview de vos opticiens Graville Optique

Quelles sont, pour vous, les qualités que doit posséder un professionnel de la sante visuelle ?

Un professionnel de la santé visuelle se doit dans un premier temps d’être à l’écoute du patient. Il faut connaitre ses besoins, ses envies, ses habitudes, ses activités et loisirs… et surtout connaitre ses attentes quant à son futur dispositif médical.

Dans un second temps, il faut savoir analyser les informations : compiler, résumer et en ressortir l’essentiel afin d’apporter la ou les solutions optiques les plus adaptées au profil du patient.

Dans un troisième et dernier temps, un spécialiste de la vue doit avoir la connaissance. Il faut en effet pouvoir répondre à chaque question que le patient se pose, tant au niveau technique que médical, expliquer les différentes pathologies, les rassurer s’il y a lieu.
Nous avons à l’heure actuelle, un rôle d’accompagnement de nos patients, nous sommes le relai en magasin de l’ophtalmologiste et de sa prescription.

Comment se déroule un bilan visuel chez vous ?

Le bilan visuel débute par une étude de cas et une analyse des besoins, c’est-à-dire, recueillir les informations sur les gênes que le patient ressent et dans quelles circonstances.
Nous vérifions ce qu’il porte, en termes de corrections et d’acuité visuelle, et procédons si nécessaire à un réglage de son dispositif médical. Cela permet d’éliminer cette éventuelle cause de gêne.

De plus, nous contrôlons la correction par la réalisation d’un nouvel examen de vue. Nous effectuons un comparatif entre la précédente prescription et celle trouvée. Si aucune solution n’est trouvée et que d’autres éléments se révèlent, on en réfère à l’ophtalmologiste, voire à l’orthoptiste.

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Vous pratiquez également la basse vision, pouvez-vous nous en dire plus ?

La basse vision a toujours été au cœur de notre pratique professionnelle. C’est une réponse pour des patients de tous âges ayant de fortes déficiences visuelles et pour lesquelles les dispositifs médicaux classiques ne suffisent plus. Ces patients éprouvent des difficultés pour voir de loin, pour voir de près ou pour faire différentes activités et ce malgré leur lunettes et/ou leur lentilles. Parmi ces déficiences visuelles, nous pouvons citer la DMLA, les rétinopathies diabétiques ou non, les rétinites pigmentaires, le glaucome, etc.

Quelles solutions proposez-vous pour les personnes touchées par cette malvoyance ?

Nous proposons des systèmes de grossissement qui sont soit purement optiques ou électroniques, des filtres de couleurs qui améliorent la vision des contrastes. Cela va de la simple loupe à des systèmes dits télescopiques. Il existe des équipements portables ou d’autres que l’on peut connecter à un écran.

Chaque équipement doit faire l’objet d’un test par patient, après analyse de ses besoins, afin de déterminer celui qui donnera le meilleur résultat à l’instant T. Comme pour chaque dispositif médical, chaque patient a sa solution.